Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
2 septembre 2007 7 02 /09 /septembre /2007 21:14
748433027.jpgLe beau gosse dont on aimerait connaître le paradis tant il le chante bien.

Le beau mec avec lequel on revereait de discuter de ce qu'on ne saura jamais, oui, oui.

Le beau gars qui croit qu'il a pas le profil du gendre parfait...

je sais pas...


Christophe.jpg
ce que je sais c'est que j'aime son look, sa tronche, sa voix, le son de sa musique... merci encore "A" qui me l'a fait découvrir...







en plus, il a une chemise qui ressemble à mes rideaux de salon... QUEL HOMME !!!

fond-index5.jpg
Partager cet article
Repost0
30 août 2007 4 30 /08 /août /2007 12:23
Rien, ça pourrait être moi à quelques détails prets.

15115300-p.jpg
Partager cet article
Repost0
28 août 2007 2 28 /08 /août /2007 23:06
BatmanIntro.jpgJe sors de chez moi et je vois passer... AAAAAAAAh, une petite chauve souris. Je vous entends d'ici, surtout les plus moqueurs "c'est pas la petite bête qui mangera la grosse"... gnagnagna. Bande d'ignards, apprenez que les si légendaires chauve-souris vampires sont en fait les plus petites. sachez également que les fiantes (je sais même plus le nom que ça porte pour les chauve-souris) de ces petits animaux peuvent filer de sales maladies pouvant vous plonger dans le comas, vous filer des taches sur les poumons dont l'évolution est très suivies car possibilité d'évolution en cancer etc... bref, je vous épargne la suite.

Alors, non, non et non, croisez une chauve-souris dans ma montée d'escalier n'a rien d'annodin. C'est même carrément flippant quand cette même bête s'accroche à votre porte, à celle de votre voisins pour finalement vous poursuivre dans les escaliers (siiiii).

Alors hein?

Batman... l'est plus si gentil, hein ?
Partager cet article
Repost0
28 août 2007 2 28 /08 /août /2007 11:20
  2nde partie et fin



Sur la route, je commençais mon questionnaire : les différences de couleurs sur la tarte, les travaux dans la maison et leurs dates d’achèvement. Je passais toutes ces remarques sur le registre de la curiosité plus que sur celui de la critique. La maison était toujours dans cet état : dans un souci d’économie, le père se chargeait lui-même des travaux, ce qui traînait en longueur étant donné qu’il devait souvent faire puis défaire. Personne n’est à l’abri des ratés. Et puis faire et défaire, revient toujours à travailler.

L’explication de la tarte était beaucoup plus épique : chacun avait des goûts différents en matière de desserts. La mère segmentait avec exactitude les parts en fonction des goûts de chacun. Certaines parties étaient saupoudrées de sucre supplémentaire ou pas sucrées du tout, d’autres comportaient des morceaux de fruits hachés plus menus, et les derniers étaient une combinaison des trois facteurs (je vous laisse le soin de calculer le nombre de combinaisons possibles !). Après cette explication, j’éclatai de rire et demandai d’un ton amusé : « Et pour la salade, si chacun a ses propres goûts, comment vous faites ?

     -On ne met pas de sauce. Ma mère prépare des récipients avec la sauce que chacun préfère. On fait ça aussi pour les pizzas ou pour la sauce des pattes. » répondit mon copain d’un ton tout à fait sérieux.
    -Bonjour le boulot pour ta mère !! » m’exclamai-je.
    -
Non pourquoi, elle ne travaille pas ? » demanda-t-il, avec toujours autant d’aplomb.
Son air sérieux me laissa sans voix.

Pour la première fois, il me parla plus longuement de sa famille. Son père travaillait en équipe ce qui lui laissait suffisamment de temps pour s’occuper de la maison. Sa mère, elle, ne travaillait pas puisqu’elle s’occupait de la maison. Cette dernière remarque résonnait comme une évidence. Je bouillais intérieurement.
Je gardais mes remarques les plus acides pour moi : le ton employé envers cette femme, l’attitude misogyne des mâles de la famille, le prix exorbitant des cadeaux aux vues de la description qu’il m’avait fait de sa famille. Tout à coup, je ne le reconnaissais plus. J’avais à côté de moi un type méprisant et méprisable. Il était en opposition totale avec mes grands principes de l’époque.

 
    La semaine qui suivit, je m’arrangeais pour le voir moins souvent. Je devais prendre du recul. Il remarqua mon absence physique et psychique d’autant plus que le voyage du retour entre la ville où nous suivions nos cours et le domicile de ses parents fut muet. Une fois arrivés, il me proposa d’entrer pour que nous passions un peu de temps ensemble aux vues de la semaine écoulée.
J’acceptais d’un signe de la tête, le petit rictus crispé en prime. Aujourd’hui encore, je ne sais pas pourquoi j’acceptais puisque mon être tout entier ne demandait qu’à s’éloigner de ce goujat grandissant.

 La mère était seule. En entrant, il passa devant moi pour jeter son sac au milieu du couloir. Je le rattrapais par le bras pour lui désignais son sac de la tête. Sa mère apparut presque aussitôt, l’embrassa et prit le sac pour l’emmener je ne sais où. J’étais sans voix. « T’as fait ma chambre ? » lui demanda-t-il avec autorité. Elle répondit par la positive. Il me proposa donc de monter dans sa chambre. Il m’écœurait. Je prétextais beaucoup de boulot en retard pour quitter cette maison d’un autre temps. Il haussa les épaules et s’en fut vers le salon où trônait la télévision. Il ne me raccompagna pas. J’étais révoltée.

Sur le chemin du retour, j’envisageais une façon bien personnelle de soulager cet écoeurement. Je passais mon week end à imaginer des stratagèmes, des scénarios tous plus « tirés par les cheveux » les uns que les autres. En allant le chercher le dimanche soir, je klaxonnais dans la cours comme à l’accoutumée. La mère sortit et me proposa d’entrer pour boire une tasse de thé. Je refusais poliment : l’idée de retrouver cette brochette de mollusques affalés sur leurs canapés respectifs me faisait rager.

            Mon copain me rejoignit et nous priment la route, toujours aussi froidement. Soudain, je me sentis apaisée : je venais de trouver une idée plutôt intéressante pour « corriger » ces malotrus. J’allais les prendre à leur propre jeu. Je brisais le silence : « C’est quand l’anniversaire de ta mère ?

-      Pourquoi tu demandes ça ?

-          Bah, tes parents sont super sympas avec moi. Je me suis sentie bête de ne pas participer au cadeau de ton père, même si vous lui avez fait des cadeaux très chers. Du coup, j’aimerais bien offrir un petit truc pour l’anniversaire de ta mère.

-          Mais, on lui offre rien pour son anniversaire. Répondit-il explosant de sincérité.

-          Jamais ? Alors, vous offrez des trucs hors de prix à ton père mais jamais rien pour ta mère ? » demandais-je, en serrant les dents. Cette famille dépassait tout entendement humain.

« Bah en fait, ce qu’on offre pour mon père fait office de cadeau pour ma mère aussi. C’est pour ça qu’on met plus d’argent dans l’anniversaire de mon père.

-          Et bien moi, j’aimerai tout de même fêter l’anniversaire de ta mère. Je pourrais bien lui offrir un petit quelque chose pour elle. Elle le mérite autant que ton père. Alors cet anniversaire, c’est quand ?

-          Dans 3 semaines, mais elle ne va pas comprendre puisque on ne l’a jamais fêté. »

Voilà, j’allais changer les habitudes machistes de cette famille. J’allais libérer cette femme de ces trois oppresseurs. Je ne lâchais pas mon idée d’anniversaire. Je vivais l’attente de cet instant comme le soldat qui vient au secours d’une forteresse prise depuis des temps immémoriaux. Je m’assurais que mon copain ait bien prévenu ses parents et son frère de ma venue et de mon intention d’offrir quelque chose pour cette « pauvre femme en péril ». Tout était prévu. Plus les jours passés, plus, je découvrais les tendances misogynes (et naturelles, c’est ça le pire !) de mon chéri du moment. J’en arrivais à me demander si je ne restais pas avec lui dans l’unique but de délivrer sa mère.

            Le dimanche de ma venue, elle ne m’accueillit pas dans la cour. Je sonnais puis entrais accueillie par l’aboiement d’un des mâles. J’avais acheté un bouquet archi-soigné chez un fleuriste de renom. Je trouvais sa mère, à « sa place », dans la cuisine. Elle préparait une tarte, sans bougie, avec les mêmes parts pré tracées que la dernière fois. Je lui tendis mon bouquet, persuadée que j’étais sur le point de déclancher chez elle une émotion ou une joie incomparable puisque enfin, quelqu’un pensait à son anniversaire. « Bon anniversaire ». Elle leva les yeux et sans même esquisser un sourire, elle répondit d’un ton monocorde dénué d’émotions : « Ah, merci, il ne fallait pas, je vais les mettre dans l’eau ». Déçue par ce manque enthousiasme, je me demandais si une plante verte n’aurait pas joui d’un succès plus important. Les mâles entrèrent dans la cuisine et s’essayèrent autour de la table. Je proposais de passer au salon ce à quoi le père me répondit sèchement : « Non, il n’y a rien à la télé et on va mettre des miettes partout. ».

            Plus tard, j’appris qu’elle n’avait effectivement pas compris mon geste. Je découvris également que l’idée de fêter son anniversaire l’avait ennuyé plus qu’autre chose : cette après midi-là, elle avait prévu de raccommoder les chaussettes et les caleçons des mâles. Là, encore, chacun avait ses petites préférences qu’elle respectait à la lettre (celui qui préférait les coutures intérieures, l’autre à l’extérieur…). En fait, elle n’avait jamais apprécié les fleurs coupées. Elle trouvait que les plantes vertes prenaient trop la poussière.

 

            Je mis fin à ma relation avec le petit ami concerné, quelques jours plus tard. Je commençais à me sentir transparente. Je mettais moins de fougue à défendre mes opinions féministes.

Personne, dans l’entourage de mon ex, ne me cacha que sa mère ne m’appréciait guère. Elle trouvait que je donnais de drôle d’idées à son fils : faire la vaisselle ou encore mettre la table ! Elle ne comprenait pas pourquoi elle devait repriser elle-même ses chaussettes puisqu’il avait une petite amie officielle. Je ne cachais pas non plus mon opinion de cette femme que je considérais comme une esclave volontaire.

            Le temps a passé et aujourd’hui, je vois les choses d’un autre œil. Je regrette mon obstination même si autre partie de moi la justifie par mon jeune âge. Cette histoire m’aura appris que les opinions divergent souvent et que personne n’a le savoir absolu. Comme dit le proverbe : chacun voit midi à sa porte. Ce n’est pas parce que cette femme ne pensait pas comme moi qu’elle avait forcément tords !

THE END
Partager cet article
Repost0
27 août 2007 1 27 /08 /août /2007 12:49

 1ère partie

Celles qui vous parlent de « libération de la femme », ne savent sûrement pas que certaines semblent heureuses d’être dévouées corps et âmes à leurs familles. Et oui, chères féministes, certaines femmes sont des objets au milieu d’un mobilier souvent kitch, par envie et pas seulement par contrainte. Certaines sont même transparentes au point qu’on pourrait les prendre pour des laies de tapisserie à fleurs « collector » qui ornent les murs de leurs salons respectifs. Le pire, pour vous mesdames les révoltées du soutien gorge : elles refusent de changer quoi que ce soit !

 Je rencontrais cette femme alors que j’étais à l’apogée de ma période féministe. Avec du recul, je ne me souviens pas l’avoir envisagée comme une belle-mère. J’en parlais à mes copines comme de SA mère, détail qui donne à cette femme un côté « objet » ou peut être un refus complet de ma part de lui ressembler, un jour. Mon chéri du moment avait l’air de trouver mes élans féministes plutôt amusants. En bons étudiants, nous étions jeunes et insouciants. Nous avions du temps pour nos convictions et nos passions. Je voyais en lui un jeune homme discret et timide. Sa mère en avait fait un cauchemar pour la plupart d’entre nous : un assisté.

 Je passais le chercher, tous les dimanches soirs, pour rentrer à la cité universitaire. Je le déposais tous les vendredis soirs sans vraiment m’attarder chez ses parents. Nous passions nos semaines ensemble, entre nos appartements en collocation, les cours, les colloc’, les associations diverses et les soirées. Les week-ends étaient consacrés à la famille et aux amis d’enfance.

Un vendredi soir, alors que je le déposais devant la maison familiale, il me demanda de venir plus tôt le dimanche suivant afin que je puisse rencontrer ses parents à l’occasion de l’anniversaire de son père. «  Ce sera un petit truc simple, pas de cadeaux, juste une part de tarte et on met les voiles pour Lyon ». J’acceptais. Sous mes airs de féministe impassible, je n’en menais pas large. J’étais impatiente et morte de trouille. Cette rencontre hantait mon week end à tel point que mes parents me croyaient malade. Pour une fois, l’image que j’allais dégager m’inquiétait. Je voulais faire bonne figure tout en restant celle que mon petit ami fréquentait depuis quelques semaines maintenant.

Le dimanche en question, je sonnais à la porte de la maison en travaux. On m’hurla un « Entre ! » assez autoritaire. J’entrais donc. Je fermais la porte doucement derrière moi. J’étais au milieu d’une maison qui n’était pas tout à fait terminée et, pourtant, pas tout à fait en travaux. On m’hurla « On est là ! ». Je suivais la provenance de la voix. Je trouvais mon petit chéri affalé sur un des canapés, tout comme son frère et son père. Ces deux derniers levèrent les yeux dans ma direction, m’observèrent des pieds à la tête et grommelèrent ce que je supposais être une vague « bonjour ». Je les saluais à mon tour et souhaitais un bon anniversaire au père qui esquissa un vague sourire avant de retourner à son émission de télé. Personne ne me portait la moindre attention. Gênée, je leur dis que j‘allais poser mes affaires dans l’entrée. Toujours pas de réponse. En accrochant mon manteau et mon sac prés de la porte d’entrée, j’entendis du bruit dans la cuisine. « Sans doute la mère » pensais-je. J’allais à sa rencontre. Elle disposait des bougies sur une tarte maison. Ses mouvements étaient calmes et posés. Je lui lançais un timide « bonjour ! ». Elle leva la tête, me sourit et répondit à mon salut d’une façon tout aussi calme. Elle ne disait plus rien, elle continuait à préparer son goûter d’anniversaire. Je lui proposais mon aide. Elle répondit sèchement : « Non, allez rejoindre les hommes au salon, je vous rejoins quand tout est prêt. ».

Au salon, les mâles étaient affalés de toute leur longueur sur des canapés. Ils commentaient leur programme de télévision. Je ne voyais pas où m’asseoir. L’émission au centre de tous les intérêts était un feuilleton. Il devait être question d’histoires d’amour ratées. Visiblement, la femme avait tous les tords. J’essayais de suivre le cours du feuilleton en leur posant des questions. Mon unique réponse fut « Faut pas chercher à comprendre, cette nana est trop conne. Elle ne comprend rien. ». Mon féminisme et ma révolte étaient à vif. N’écoutant que mes principes de révoltée, je fis remarquer qu’une femme ne pouvait pas avoir tous les tords et que le héro avait sans doute sa part de responsabilité dans cette histoire. Les trois regards se braquèrent sur moi et en dirent long : mon avis était exclu, en leurs présences.

La mère nous rejoignit. Elle disposa les assiettes, les tasses puis la tarte sur la petite table, au centre des fauteuils. Elle eut droit à des « Pousse toi, j’vois rien ! » ou à des « Arrêtes de faire du bruit ! On entend rien ! ». Je grommelais : « Quand on ne fait rien, c’est toujours plus facile de critiquer. ». Aux mouvements d’yeux du père et aux grincements de dents du frère, je compris que ma remarque n’était pas tombée dans l’oreille d’un sourd. J’étais contente de moi. J’avais gagné une bataille : j’avais fait entendre à ces machos que leurs remarques et leurs comportements étaient honteux. Les deux frères allumèrent les bougies (impatience : ils s’exécutaient de façon si méticuleuse et si appliquée). Personne ne chanta (frustration : quel était l’intérêt de fêter un anniversaire si on ne chantait pas « joyeux anniversaire »). Le père souffla les mêmes bougies en dix fois moins de temps qu’il n’en avait fallu pour les allumer (incompréhension : pourquoi avoir allumé ces bougies, au fond). Les frères tendirent des paquets au père qui esquissa un sourire, visiblement touché : « Merci mes grands. » dit-il en les embrassant. Le premier (l’aîné en fait) lui offrit un appareil photo numérique et mon chéri, l’imprimante correspondante. Je restais perplexe. Je savais que mon chéri était plutôt fauché et il m’avait décrit sa famille comme modeste. Les cadeaux me paraissaient donc plutôt coûteux. Mais j’imaginais de quelconques astuces pour obtenir des prix intéressants ou encore que la situation n’était pas si misérable qu’elle voulait le paraître.

Quand elle découpa la tarte, je fus interpelleé par des différences de couleur aux dimensions exactes des parts qu’elle découpait. Chacun y allait de son commentaire. Globalement tout le monde avait trouvé la tarte à son goût.

Au moment de prendre congé, j’assistais à un miracle : les deux autres s’étaient levés pour me dire au revoir. Je les croyais définitivement réduits à l’état de mollusques, pourtant !

 A SUIVRE
et suis désolée pour les fautes...
Partager cet article
Repost0
25 août 2007 6 25 /08 /août /2007 13:51
Il y a quelques semaines, je faisais un article à propos des hommes et de leurs attitudes quand ils sont (soit disant ou réellement) amoureux. Je n'ai pas eu de véritables échos féminins par rapport à cet article, mais en l'écrivant, j'avais l'impression que pas mal d'hommes connaissaient ces "indices" et savaient en jouer. Les plus novices d'entre nous étaient donc toutes pretes à tomber dans le piège du "sisi mon coeur je suis dingue de toi", alors qu'en fait vous étiez la 4583 ième sur sa liste hebdo et que son planning amoureux était déjà plus que chargé.

Pour éviter de tomber dans le piège (ou pour rassurer les plus cucul -la-pralines), Biba avait consacré un article "comment savoir s'ils vous aiment vraiment ?"...que je m'étais permis de déboiter parce que c'était de la meeeeeeeerde de ouloir nous faire croire à des niaiseries pareilles (toujours parce que les hommes connaissent de mieux en mieux les femmes... gaffe les filles !). Un homme m'avait donnée son avis, par écrit, sur la question et la réponse (bien que partielle à mon goût) devrait nous permettre, à nous les gonzesses, d'avancer un brin...

En Rose, rouge et orangé: les niaiseries de Biba Mars 2007
En Noir : mes commentaires
En Bleu : les commentaires de l'homme

1 - il vous regarde...
je résume : il vous gobe des yeux !
en réalité il vous admire, parce qu'il vous trouve belle et qu'il est fier de vous et d'être avec vous.

2 - il vous écoute...
idem : il adore savoir des tas de trucs chiants à votre propos.
même si la plupart du temps ca ne l'interesse pas de savoir ce que vous avez lu dans Biba ou Marie-Claire :p, après tout ce qui compte pour lui c'est vos petits et gros soucis parce qu'il aime pas quand ca va pas

3 - il vous protége...
mouais...
de quoi, de qui ? Non, il s'occupe de vous pour que tout aille bien dans le meilleur des mondes
(qui n'est pas celui dans lequel on vit tous les jours mais celui qu'il construit avec vous)

4 - il a besoin de vous...
toujours à savoir où vous êtes, avec qui et pourquoi vous lui préferez votre bande de copines névrosées.
Il aime bien votre facon de voir la vie, et aimerait s'intégrer un peu dedans mais pas trop qd même histoire de se changer de son train-train quotidien, après tout vos copines elles ont l'air cool même si elles sont barrées :p

5 - il vous trouve belle (mais alors tout le temps)
... pas mal pour l'égo mais un brin de conversation serait préférable.
oui c'est sur, mais si il vous le dit plus d'une fois par jour c'est pour s'éviter d'entendre en boucle des choses du genre ... j'ai un gros cul, j'ai des boutons , je suis mal coiffée, j'aime pas mes pieds, bla...bla...bla...bla... enfin ce genre de truc qui le gonfle et qu'il finira par croire tôt ou tard

6 - il fait des concessions...
à partir de là, les emmerdes commencent parce qu'un jour il vous reprochera de lui avoir fait zappé le dimanche chez maman pour les brunchs-squashs avec les copains
si c'est le cas ... il baratine, il se cherche tout un tas de raison pour se convaincre que ca vaut la peine. Sinon il s'adapte, signe qu'il est prêt à remplacer quelques morceaux sa vie de mâle par quelques morceaux de votre vie.

7 - il vous fait vraiment l'amour...

ah? mais on fait comment pour savoir parce que les hommes savent super bien simuler eux aussi.
Qu'on se le dise.
c'est sur ! Et pour le savoir, y a rien à faire ... ca se ressent juste. Un indice : Y'a pas d'heure, ca dure des heures, il recommence et n'attends rien en retour.


8 - il veut habiter avec vous...

aïe !
c'est bon signe ... il pense que pour vivre heureux vivons cahés ... sauf qu'il s'attends toujours au pire (la couleur des murs, le choix des meubles, qui fait la vaiselle, etc ... etc ...). Mais si il est vraiment amoureux, il s'en fout parce qu'il sait qu'il veut désormais tout partager avec vous (sauf peut être vos séances de maquillage)

9 - il vous fait de bons petits plats avec amour
et n'attend pas de vous que vous afssiez ménage ou vaisselle en retour.
(celle-là est de moi et moi seule)

nti_bug_fck
Partager cet article
Repost0
25 août 2007 6 25 /08 /août /2007 13:22
Over-blog propose de rémunérer les bloggueurs les plus inspirés et de protéger leurs écrits et blablabla... le tout c'est de respecter le droits à l'image (... mierrrrrrrrdaaaaaa...) et le respect des écrits (ça, ça le fait)...

Alors, chers petits lecteurs de tous les coins de la terre (oui, j'aime me dire qu'on me lit  sous la neige comme sous les cocotiers, sous la couette comme vautré dans un hamac...), qu'en pensez vous ?

Dois je proposer à over-blog de  rémunérer mon blog : ce qui impliquerai que j'abandonne http://carline973.skyblog.com et que je ne me consacre plus qu'à celui-ci?

Dois je poursuivre mes 2 blogs de front et me moquer (comme toujours) du droit à l'image?

Avez vous une autre suggestion parce que là... mo pa savé...promo-saison-3.jpg
Partager cet article
Repost0
24 août 2007 5 24 /08 /août /2007 14:42
tlp744699.jpgMa Memelou se marie en septembre et je ne serai pas là pour faire la fête avec elle, ni pour la voir passer la bague au doigt de son "élu de son coeur" dans la plus jolie église que je connaisse.

Anne aurait besoin de soutien pour aller rire un coup et penser à autre chose alors que son ventre refuse de s'arrondir et que tout le monde lui demande où elle en est, d'un air qu'elle croit être accusateur.

Anne Laure a vu son ventre s'arrondir, son bébé naître et sn appartement changer d'apprence et  je n'ai même pas pu aller constater son bon goût naturel...

Christine a vu grandir sa choupette en sucre aux yeux couleur lagon et je n'ai pas encore eu l'occasion de la bisouiller ni même de jouer avec elle.

El pouletoss a été débordé entre affaire de coeur, affaire de school, affaire de Lyon, affaire de vacances, affaires de sous qu'il faut rentrer au mag de son frerot...

Steph' et Bibi jouent à la balançoire avec Martin, lui apprenne à marcher, à manger proprement et moi je n'ai même pas eu l'occasion de débuter son apprentissage de bétises qui font criser les parents.

Et tous les autres... ah les autres...
L'amitié à distance, c'est vrai que c'est difficile surtout quand vous vous sentez seule ou qu'on vous dit des "ah si seulement tu étais là" (qui vous rechauffent le dedans mais vous font passer un rouleau compresseur dans la poitrine). Il parait que ça s'entretient...

Pour le moment, je m'en sors pas trop mal.
Merci pour tout à vous tous.
(et merci Rolston pour l'inspiration du jour)

Partager cet article
Repost0
23 août 2007 4 23 /08 /août /2007 11:49
Petite pensée d'un petit homme avec un petit blog anciennement couleur guacamole actuellement couleur ???
une reflexion qui me plait parce qu'elle est tellement vrai. Pis au moins Rolston, il est passé par là, il a su laisser les conneries racontées par d'autres ou par lui-même en période de "crise" pour laisser aller coeur et sentiment.

Mais tout cela viens m'interroger sur ce besoin de vivre avec un autre, d'être amoureux, d'être aimé.
L'homme est étrange.
Accompagné il est rarement épanoui et seul il ne rêve que de compagnie.

à graver en lettre d'or au dessus de vos cheminées, mes amis !

couple-dicus.jpg
Partager cet article
Repost0
23 août 2007 4 23 /08 /août /2007 11:25
Oui, oui, je bouffe du film ces derniers temps ce qui s'explique par des finances en apnée et un tas de films pas encore vus en France que je brulais d'impatience de découvrir.
Pour ce qui est de parler de moi d'une façon un peu plus personnel : je prefère mon autre blog http://carline973.skyrock.com/ pour le moment.

Le dernier film vu ... retour en enfance avec les dessins animés du Club Dorothée avec tous ces robots qui savaienttransformers-bigmegaposter.jpg se transformer en plein de trucs délires.
Film long à mon goût doté d'assez bons effets spéciaux et de quelques bons vieux clichés américains (devinez qui sauve le monde ?) tels que les ralentis, les musiques tristounettes + regards lourds en émotions.
Globalement, sympa à regarder.
Partager cet article
Repost0